Pas de conquêtes sociales sans libertés syndicales
Porter atteinte aux libertés syndicales, c’est attaquer le droit de tous, salariés, retraités, jeunes, privés d’emploi, de pouvoir s’organiser collectivement pour défendre et améliorer nos conditions de vie et de travail.
Aucun salarié ne doit accepter la criminalisation de l’activité syndicale notamment à l’heure où les attaques de multiplient contre le monde du travail.
La CGT, ses militants sont pour ceux qui défendent les intérêts de la finance des « ennemis » qu’il faut sanctionner, décrédibiliser par tous les moyens, pour combattre un syndicalisme de progrès social.
Comme partout en France, dans notre département, les syndiqués de la CGT sont trainés devant les tribunaux, convoqués dans les commissariats, licenciés, discriminés…
Les délinquants ne sont pas les syndicalistes qui défendent les salariés, ce sont ceux qui cassent des vies, des emplois, des usines pour remplir les poches d’une minorité au détriment de l’intérêt général.